Turbo-sieste
Thomas Edison cultivait les états hypnagogiques pour y puiser les idées de nouvelles inventions. Il faisait de courtes siestes (sans s’endormir) en milieu de journée assis dans son fauteuil, une balle de métal dans la main. Dès que ses muscles se détendaient à l’approche du sommeil, la boule tombait et le bruit le réveillait, l’empêchant de sombrer dans le sommeil. Il vérifia que l’état de conscience ainsi pratiqué en bordure du sommeil favorisait soit l’émergence d’une idée créative, soit le traitement d’une ancienne idée cette fois d’une façon inédite. C’est ainsi qu’au fil du temps on s’aperçut que l’état de conscience éveillé au bord du sommeil outre son aspect récupérateur, était un merveilleux et naturel générateur de créativité.
La Turbo-sieste en musique (quelle qu’elles soient) conçue et développée par Psychomed permet de rester dans cet état si spécial : les stimulations lumineuses en lumière bleue empêche l’endormissement et du fait du mode pulsé générateur d’images (sans aucun sens) il distrait la conscience qui bascule automatiquement en état « bordure » du sommeil. C’est le côté pragmatique de la technologie PSiO.
L’ «hypersieste » mise au point par S. Dumonceau est l’aboutissement scientifique de la turbo-sieste. Elle fut inspirée des recherche du Dr Zeitger de Palo Alto sur l’influence d’un arrêt de stimulation des récepteurs rétiniens. Elle est composée d’alternances précises de lumières bleue et rouge pulsées avec des flashs de 100 millisecondes ; celle-ci permet d’exciter optimalement les pigments récepteurs dans l’œil qui sont reliés directement à l’horloge biologique ce, jusqu’à 10 fois les valeurs en lumière continue et 50 fois pour la lumière blanche. |