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Luminothérapie
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Sans danger
Aujourd'hui il est prouvé que la lumière émise par le PSiO n'a aucun danger (voir certification du LNE - Laboratoire français national de mesure) bien au contraire, elle est utile pour réguler les cycles veille/sommeil.
Plusieurs rumeurs et articles de presse à l'en contre de l'industrie des diodes électroluminescentes ont fait mention par le passé d'un potentiel dangereux en ce qui concerne les tons bleus de la lumière et il était légitime de se demander si le PSiO émettait des longueurs d'onde lumineuse dangereuses notamment pour les personnes atteintes de dégénérescence maculaire. Aujourd'hui cette question n'est plus pertinente.
Pourquoi la lumière du PSiO n’est pas nocive
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Le laboratoire National de mesure français (LNE) a produit une attestation d’innocuité totale à PSYCHOMED.
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Des chercheurs français avaient observé en effet que la nocivité des tons bleus décriés ne dépend pas de l'intensité lumineuse et que la bande toxique est étroite et correspond plus précisément aux longueurs d'onde lumineuse comprises entre 415 et 455 nanomètres. La longueur d'onde utilisée pour les diodes dans le PSiO est de 470 nm ce qui implique qu’elle n’entre pas dans la bande principalement incriminée dans cette étude.
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L’utilisation du PSiO s’effectue à des doses minimes (5 minutes à 30 minutes/jour maximum en moyenne) par rapport aux études comme celle-là, utilisant des expositions prolongées (jusqu’à 6 heures d’affilée).
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Pour terminer, dans 99% des cas, les séances PSiO se font, après 10 minutes, yeux fermés. La couche de la peau présente ainsi une protection supplémentaire pour la rétine.
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Logique à elle-même, la nature a équipé notre corps de récepteurs sensibles à cette longueur d’onde pour indiquer à l’horloge biologique quand c’est la journée et quand c’est la nuit. Ce processus de stimulation de la rétine est donc naturel. Cette longueur d’onde (470 nm) est celle principalement de la lumière matinale quand le ciel est dégagé.
Pour info : un fabricant de verres optique, le groupe ESSILOR, a d'ailleurs mis en place ensuite un type de verre pour filtrer le "mauvais bleu", soit les fréquences bleu-violet et les UV et maximisant la transmission des « bons bleus », essentiel à la chronobiologie ce tout en gardant la transparence du verre (les verres Crizal Prevencia).
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